Tous présents au salon des entrepreneurs 2017, ils ont tous fait de leurs rêves, une réalité !
Voici cinq entrepreneurs français à ne pas manquer en 2017 :
Marjolaine Grondin :
Lors de ses études à l’Université de Berkeley en Californie que Marjolaine Grondin s’est interrogée sur les difficultés que pouvaient avoir les étudiants. Elle s’est alors associée à Loïc Delmaire pour fonder Jam, un assistant personnalisé pour les étudiants. En effet, Jam est une intelligence artificielle initialement assistée par les humains et aujourd’hui totalement automatisée. Il répond aux questions de tous ses utilisateurs via une messagerie instantanée.
Frédéric Mazzella :
Au départ chercheur scientifique pour la NASA, Frédéric Mazzella a fondé Blablacar en se rendant compte que beaucoup de voitures étaient vides sur la route et que les trains étaient souvent bondés et trop chers. Il a alors créé un service de covoiturage entre particuliers afin de leurs permettre de partager les frais du voyage. Aujourd’hui Blablacar a bien grandi et existe dans plus de 10 pays.
Antoine Jouteau :
C’est trois ans après la création du site « Le bon coin » qu’Antoine Jouteau rejoint l’équipe en devenant directeur général du plus grand site de petites annonces de France entièrement gratuit pour les vendeurs. Il lui alors fallut être inventif pour développer cette société sans perdre d’argent et c’est en s’appuyant sur la publicité et les partenariats qu’Antoine Jouteau a su faire évoluer son entreprise.
Guillaume Gibault :
Guillaume Gibault, après 15 jours de chômage, s’est lancé un pari assez fou : créer la première marque de slip entièrement Made in France. Et ce pari, il l’a réussi. En à peine 4 mois, il courrait déjà après les stocks. Part son côté émouvant et sympathique, Guillaume Gibault a réussi à mettre sa marque, Le Slip Français, sur le devant de la scène.
Nicolas Furlani :
Dans une filière Entrepreneurs pendant ses études, Nicolas Furlani a décidé de réaliser un projet d’entreprise. Son idée était de constituer un service de commande en ligne pour les bars et les restaurants. Si ce service a séduit les particuliers, il a trouvé peu d’écho chez les gérants qui ne souhaitaient pas le payer. Avec ses co-fondateurs, il a alors pris la décision de changer et de créer Privateaser pour faciliter la vie des particuliers dans leurs organisations d’événements.
